La démarche scientifique devra répondre à une exigence principale : étudier tous les outils de financement à l’agriculture pour lui permettre de transformer son modèle (notion d’agriculture vertueuse) dans un contexte de souveraineté alimentaire.
Le financement durable tel qu’il est étudié par la Chaire repose sur des preuves de nature scientifique permettant d’attester d’une aggradation ou d’une dégradation d’un « capital naturel », constatée dans l’exploitation de l’agriculteur du fait de ses pratiques ou de ses investissements.
L’élaboration de la preuve, comme sa mise en œuvre pratique, font partie du programme de recherche de la Chaire.
L’analyse de la collecte de fonds et sa répartition sur les exploitations, tout comme son statut juridique, sont un champ de recherche complémentaire également intégré au programme de recherche.
L’analyse de la collecte de fonds et sa répartition sur les exploitations, tout comme son statut juridique, sont un champ de recherche complémentaire également intégré au programme de recherche.
Enfin, la forme des investissements de marché représente un autre compartiment des travaux de recherche potentiellement réalisés dans le cadre du programme général de recherche.
La méthodologie retenue et le programme de la Chaire impliquent l’étude de notions et d’outils juridiques et comptables nouveaux, adaptés à la vision du financement durable portée par la Chaire.
À partir de ces préalables, la démarche scientifique s’articule autour de 5 axes.